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"Deux Français sur trois manqueraient de vitamine D "selon LE MONDE

2 participants

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"Deux Français sur trois manqueraient de vitamine D "selon LE MONDE Empty "Deux Français sur trois manqueraient de vitamine D "selon LE MONDE

Message  BETTY Dim 27 Déc - 10:03

lire l'article en etier
j'ai retenu deux passages pour celles qui n'auront pa sle temps de lire l'article en entier

Il ne faut donc pas faire de supplémentation systématique. "La limite entre la zone des apports adéquats et la zone d'intoxication, qui entraîne des troubles d'hypertension, de calculs rénaux... est ténue. Il faut donc faire attention au surdosage", ajoute le docteur Lecerf.

"Il y a encore un débat scientifique sur le taux idéal de vitamine D dans le sang. On constate souvent un déficit en vitamine D, or une supplémentation ne coûte que 1,50 euro par mois. Il n'y a donc aucun enjeu économique", souligne David Servan-Schreiber, qui aborde le sujet dans la nouvelle édition de son livre Anticancer, à paraître le 8 février.
Chouette un nouveau "gué rir pour février, actualisé!
A suivre!
BETTY
BETTY


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"Deux Français sur trois manqueraient de vitamine D "selon LE MONDE Empty Une étude lie la vitamine D à la survie au cancer du côlon

Message  MARIELEA Sam 20 Mar - 14:43

Oui Betty comme tu l'avais annoncé le nouveau GUERIR est paru.. j'en suis un peu déçue, car il y a peu de nouveautés.. bon cela permet juste de faire un epiqure de rappel pour hélas, les nouveaux cas.. cela fait connaitre l'ouvrage, et ça, c'est plutôt bien!
je rebondis sur la vitamine D: Une étude lie la vitamine D à la survie au cancer du côlon
Selon une étude effectuée par des scientifiques à la Dana-Farcer Cancer Institute, les patients diagnostiqués d’un cancer du côlon ayant de grandes quantités de vitamine D dans le sang sont moins susceptibles de décéder au cours d’une période de suivi que les patients manifestant une carence en vitamine D.

Les résultats de cette étude – première à examiner les effets de la vitamine D sur les patients souffrant d’un cancer colorectal – méritent de plus amples recherches, mais il est trop tôt pour recommander des suppléments de la vitamine comme partie du traitement, indiquent les chercheurs de Dana-Farcer et de Harvard School of Public Health.

Dans un rapport paru dans l’édition du 20 juin 2008 du Journal of Clinical Oncology, les auteurs notent que des recherches précédentes ont révélé que des niveaux élevés de vitamine D réduisent le risque de développer un cancer colorectal de près de 50%, mais l’effet sur les résultats du cancer demeurent inconnus. Le Docteur Kimmie Ng, MPH, et Docteur Charles Fuchs, MPH, à Dana-Farber, analysèrent les données de deux études épidémiologiques menées sur le long terme dont les participants donnèrent des échantillons de sang et leur santé surveillée durant des années.

Ils identifièrent 304 patients ayant fait partie de la Nurses' Health Study et la Health Professionals Followup Study et qui furent diagnostiqués d’un cancer colorectal entre 1991 et 2002. Leurs niveaux de vitamine D avaient été précédemment mesurés à partir de prélèvements de sang au moins deux ans avant leurs diagnostiques. La mesure de vitamine D de chaque patient fut classée par « quartile » -- les 25% les plus élevés puis les 25% les plus bas et ainsi de suite. Ceux dont les niveaux faisaient partie du quartile le plus bas furent considérés comme ayant une carence en vitamine D.

Les chercheurs suivirent les 304 patients jusqu'à leur décès ou jusqu’en 2005. Durant cette période, 123 patients moururent, dont 96 d’un cancer rectal ou du côlon. Les chercheurs essayèrent ensuite de trouver des liens entre les mesures précédentes de vitamine D dans le sang des patients et si ces derniers avaient survécu ou pas.

Les résultats révélèrent que les individus dont les niveaux de vitamine D appartenaient au quartile le plus élevé avaient 48% plus de chance de survivre (suite à toute cause, y compris le cancer colorectal) que ceux dont les niveaux étaient les plus bas. Les scientifiques constatèrent que la possibilité de décéder d’un cancer du côlon était plus basse de 39%.

Les niveaux de vitamine D dans le sang des patients révèlent aussi bien la quantité fabriquée par le corps lorsque celui-ci est exposé au soleil que la quantité fournie par toutes sources de vitamine dans leur alimentation, signala Ng. Toutefois, ajouta-t-elle, il pourrait exister des facteurs supplémentaires inconnus dus aux différences individuelles. Les patients aux niveaux les plus élevés de vitamine D avaient tendance a avoir un indice de masse corporelle bas (IMC) indiquant qu’ils sont plus minces et plus actifs physiquement. Néanmoins, même après avoir vérifié l’IMC et l’activité physique, ainsi que d’autres facteurs pronostics, les niveaux élevés de vitamine D étaient toujours indépendamment associés à de meilleurs taux de survie.

Ng indiqua qu’un essai est en cours de planification ; les patients atteints d’un cancer du côlon recevront de la vitamine D en même temps que la chimiothérapie post-chirurgicale afin d’examiner les avantages qu’amèneraient ces suppléments.

Entretemps, elle indiqua que les patients cancéreux devraient consulter leurs médecins concernant la nécessité d’ajouter des suppléments de vitamine D à leur alimentation quotidienne. Les quantités quotidiennes standard recommandées de vitamine D vont de 200 Unités Internationales (UI) par jour pour les personnes de moins de 50 ans à 400 UI pour celles entre 50 et 70 ans, à 600 UI pour celles de plus de 70 ans. A suivre! bounce Je file très bientôt recharger mes accus en vitamine D.. utile et agréable sunny

Docteur Jeffrey Meyerhardt, MPH, de Dana-Farber; Docteur Kana Wu, Docteur en médecine, et docteur Edward Giovannucci, ScD, de Harvard School of Public Health; Diane Feskanich, ScD, du Brigham and Women's Hospital, et Bruce Hollis, Docteur en médecine, de la Medical University of South Carolina. La recherche fut financée par la National Cancer Institute.
MARIELEA
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