lutter contre les cancers d'origine infectieuse
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lutter contre les cancers d'origine infectieuse
Plusieurs sortes de cancer sont dues à des infections chroniques. On les combat en jugulant ces infections et en détectant au plus tôt les lésions cancéreuses. Une action menée par les pouvoirs publics et relayée par les complémentaires santé.
Le cancer de l'estomac
Avec 5000 nouveaux diagnostics par an, selon l'Institut National du Cancer, ce cancer d'origine infectieuse est le plus répandu dans l'Hexagone. Le cancer de l'estomac provient de l'action chronique de la bactérie helicobacter pylori sur la muqueuse gastrique. Elle engendre des inflammations qui finissent par devenir des lésions cancéreuses.
Le traitement de l'infection par la bactérie helicobacter pylori peut engendrer, à son tour, un accroissement des tumeurs gastriques. En effet, les médicaments utilisés agissent sur l'ensemble de l'organisme, qui retourne alors ses défenses contre les organes déficients.
Le cancer de l'estomac se soigne par ablation des tumeurs. Il exige un long suivi à l'hôpital, avant que l'état du patient soit stabilisé.
À noter : une complémentaire santé renforcée sur le remboursement des frais d'hospitalisation est indispensable pour aborder sereinement les soins liés à toute forme de cancer.
Le cancer du col de l'utérus
Concernant majoritairement les femmes de 50 ans, le cancer du col de l'utérus se manifeste par 2800 cas annuels. Il résulte de l'action chronique des papillomavirus humains sur la paroi utérine. Ceux-ci se transmettent très facilement par contact sexuel ou buccal.
Le vaccin contre les papillomavirus humains constitue le moyen le plus efficace de prévenir le cancer du col de l'utérus, mais il ne fonctionne que sur les jeunes filles de moins de 20 ans. Après cet âge, l'organisme a déjà réagi par lui-même à l'infection. Le mode de dépistage du cancer repose alors sur un frottis cervical tous les deux à trois ans.
Les lésions bénignes du cancer du col de l'utérus sont éradiquées par laser, tandis que les tumeurs malignes nécessitent un traitement plus complexe de chimiothérapie et de radiothérapie.
Le cancer du foie
Provenant des infections par les hépatites virales B et C, le cancer du foie se détecte chez 2500 personnes chaque année. Les stades intermédiaires en sont la fibrose et la cirrhose. La structure interne du foie se déforme et le liquide hépatique finit par se répandre dans l'abdomen.
Il faut dépister le cancer du foie au plus tôt, pour espérer la stabilisation de la maladie. Les signes en sont un gonflement abdominal, accompagné de fatigue et d'une coloration jaunâtre de l'épiderme. Des tests sanguins et une IRM confirment le diagnostic.
Les thérapies ciblées, qui bloquent la reproduction des cellules cancéreuses en supprimant leur apport en oxygène, donnent de bons résultats dans le cas de lésions peu étendues. En revanche, si une part importante du foie est atteinte, il faut envisager son ablation partielle, et la guérison du patient est alors soumise à l'absence de métastases (tumeurs récidivantes).
Le plan cancer 2014-2018
Lutter contre les cancers d'origine infectieuse passe par des campagnes d'information et de prévention. Cet aspect est pris en compte par le nouveau plan cancer 2014-2018, qui prévoit le renforcement des actions de dépistage précoce.
Parallèlement, la prise en charge des patients atteints d'un cancer d'origine infectieuse devrait s'orienter vers davantage de soins en mode ambulatoire, afin de limiter les hospitalisations, source de stress. Enfin, il est prévu de repenser le remboursement des soins aux cancéreux, pour encourager l'utilisation des nouveaux traitements, à l'efficacité prouvée.
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Le cancer de l'estomac
Avec 5000 nouveaux diagnostics par an, selon l'Institut National du Cancer, ce cancer d'origine infectieuse est le plus répandu dans l'Hexagone. Le cancer de l'estomac provient de l'action chronique de la bactérie helicobacter pylori sur la muqueuse gastrique. Elle engendre des inflammations qui finissent par devenir des lésions cancéreuses.
Le traitement de l'infection par la bactérie helicobacter pylori peut engendrer, à son tour, un accroissement des tumeurs gastriques. En effet, les médicaments utilisés agissent sur l'ensemble de l'organisme, qui retourne alors ses défenses contre les organes déficients.
Le cancer de l'estomac se soigne par ablation des tumeurs. Il exige un long suivi à l'hôpital, avant que l'état du patient soit stabilisé.
À noter : une complémentaire santé renforcée sur le remboursement des frais d'hospitalisation est indispensable pour aborder sereinement les soins liés à toute forme de cancer.
Le cancer du col de l'utérus
Concernant majoritairement les femmes de 50 ans, le cancer du col de l'utérus se manifeste par 2800 cas annuels. Il résulte de l'action chronique des papillomavirus humains sur la paroi utérine. Ceux-ci se transmettent très facilement par contact sexuel ou buccal.
Le vaccin contre les papillomavirus humains constitue le moyen le plus efficace de prévenir le cancer du col de l'utérus, mais il ne fonctionne que sur les jeunes filles de moins de 20 ans. Après cet âge, l'organisme a déjà réagi par lui-même à l'infection. Le mode de dépistage du cancer repose alors sur un frottis cervical tous les deux à trois ans.
Les lésions bénignes du cancer du col de l'utérus sont éradiquées par laser, tandis que les tumeurs malignes nécessitent un traitement plus complexe de chimiothérapie et de radiothérapie.
Le cancer du foie
Provenant des infections par les hépatites virales B et C, le cancer du foie se détecte chez 2500 personnes chaque année. Les stades intermédiaires en sont la fibrose et la cirrhose. La structure interne du foie se déforme et le liquide hépatique finit par se répandre dans l'abdomen.
Il faut dépister le cancer du foie au plus tôt, pour espérer la stabilisation de la maladie. Les signes en sont un gonflement abdominal, accompagné de fatigue et d'une coloration jaunâtre de l'épiderme. Des tests sanguins et une IRM confirment le diagnostic.
Les thérapies ciblées, qui bloquent la reproduction des cellules cancéreuses en supprimant leur apport en oxygène, donnent de bons résultats dans le cas de lésions peu étendues. En revanche, si une part importante du foie est atteinte, il faut envisager son ablation partielle, et la guérison du patient est alors soumise à l'absence de métastases (tumeurs récidivantes).
Le plan cancer 2014-2018
Lutter contre les cancers d'origine infectieuse passe par des campagnes d'information et de prévention. Cet aspect est pris en compte par le nouveau plan cancer 2014-2018, qui prévoit le renforcement des actions de dépistage précoce.
Parallèlement, la prise en charge des patients atteints d'un cancer d'origine infectieuse devrait s'orienter vers davantage de soins en mode ambulatoire, afin de limiter les hospitalisations, source de stress. Enfin, il est prévu de repenser le remboursement des soins aux cancéreux, pour encourager l'utilisation des nouveaux traitements, à l'efficacité prouvée.
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BETTY
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